Bonjour tout le monde !
Avec cette petite vidéo, je me lance sur les traces de l’écrivain en action ! Pourquoi ne parle-t-on jamais des temps d’écriture où l’écrivain ne finit pas son histoire ?
Je pense que cette question est source de découvertes intenses sur la difficulté d’écrire un récit de bout en bout, sans faiblir. Et c’est bien le sujet premier que je me fais un devoir de décortiquer avec vous.
Dites-moi tout ce qui vous passe par la tête à ce sujet ! On fera le tri ensemble. C’est la fête du slip ! Laissez un p’tit commentaire pour qu’on fasse avancer le shmilblick. Merci à tous et à tout de suite les amis !
Vous vous demandez sûrement ce qui se passe quand un écrivain se lance dans l’écriture d’un roman ? Plein de choses ! Mais, parfois, après le feu d’artifice d’idées et l’éclate des premières rencontres (avec son héros, les amis et parents de ce dernier, et ses ennemis potentiels), l’auteur cale et ne sais pas continuer.
Il doit chercher ou abandonner.
Bien sûr ! Me direz-vous, il y a des écrivains qui savent ce qu’ils veulent dire et ne se fourvoient pas dans le désert. C’est vrai.
Avec cet angle d’attaque, qui part de LA question que nous nous posons tous au moins une fois dans notre vie – Un écrivain connait-il la fin de l’histoire qu’il raconte ? -, je vous invite à réfléchir à comment écrire une histoire.
Le vivant appelle le vivant !
Les personnages et l’auteur forment indéniablement la trame du récit. C’est aussi simple que ça. Je dirais donc que finir l’écriture de son histoire dépend du rapport entre la quête du héros et celle de son auteur.
Une histoire est un organisme de cellules
La présence des personnages secondaires permet le déroulement du récit (grâce aux alliés) et le parcours et l’achèvement de la quête.
Cette fin est conditionnée par les personnages en présence et les rapports de force qui se jouent (enjeux). Pour résumer, une histoire est un organisme vivant cousu de fils blancs, que l’auteur parvient à réanimer… ou pas.