La crise du covid-19 signe la fin de notre empoisonnement

Le pouvoir de l’industrie chimique est devenu hors de contrôle. La bonne nouvelle, c’est que notre aveuglement vient de prendre fin. Maintenant, le seul moyen de neutraliser la folie des chimistes, c’est de mettre les responsables en prison, de réquisitionner leurs entreprises et de redonner le pouvoir au vivant.

« Les bourgeois volent au coin du feu, c’est plus profitant que de ramasser ce qui traîne au coin des bois. »
Les Paysans – Honoré de Balzac

Le pouvoir de l’industrie chimique est devenu hors de contrôle. La bonne nouvelle, c’est que notre aveuglement vient de prendre fin. Maintenant, le seul moyen de neutraliser la folie des chimistes, c’est de mettre les responsables en prison, de réquisitionner leurs entreprises et de redonner le pouvoir au vivant. Pour le reste, les voyants s’organisent déjà.

La crise sanitaire est le point de non-retour d’une société malade de peur

peur
Seule la peur emprisonne. Photo Enrique Meseguer

Est-ce qu’un basculement de nos valeurs peut changer la face du monde ?

Lorsque le monde change, il suffit d’une goutte d’eau pour qu’il déborde

Aujourd’hui, je suis revenue au bar. Oh, ce n’est pas mon bar habituel où je venais chaque matin depuis neuf ans pour écrire mes fictions. Non, aujourd’hui, la vie a changé, le monde a changé, nous avons changé — même si certains refusent encore de le voir. Aujourd’hui, j’ai décidé de reprendre l’écriture d’articles sur mon blog, car il s’est passé une toute petite chose dans ma vie, si petite qu’elle ressemble à la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Aujourd’hui, j’ai demandé à ma fille si elle avait des nouvelles de son amie venue dormir à la maison le mois dernier. C’est une gamine de riche qu’elle a rencontrée au centre équestre, un des plus beaux centres d’équitation du coin, où nous faisons l’effort de la conduire pour qu’elle cultive son rapport à la nature et son sentiment de liberté.

Décidément, les riches ne peuvent pas faire confiance aux pauvres

Moi, je suis de la catégorie des pauvres, mais je me débrouille pour que ma fille aille faire du cheval dans un environnement naturel où, dans la mesure du possible, les chevaux sont plus respectés qu’ailleurs. Bref, elle y côtoie des enfants d’une société différente de celle de mon quartier populaire. À son retour de vacances, elle devait à son tour aller dormir chez cette copine — vous savez comment ça marche. Malheureusement, la chute est raide. Déjà, lorsqu’ils ont déposé leur fille chez nous, ça a dû leur faire un choc de voir où ils atterrissaient, mais ils n’ont pas fait demi-tour. Ouverts d’esprit, ils se sont probablement dit qu’ils n’avaient pas à s’arrêter aux apparences. D’autant que la verdure entoure chaque immeuble et qu’il fallait nous donner une chance. Mais, je ne suis pas une mère comme les autres. Je ne suis même pas une femme comme les autres, sans doute.

Prendre la vie en pleine poire détruit ou renforce le mur des préjugés

Mes enfants ont toujours eu la liberté de se prendre en charge. Dès la petite enfance, je leur ai appris à assumer leur propre sécurité, tout en les maternant les premières années de leur vie, par une présence constante et un allaitement de quatre ans chacun. Bref, pour revenir à notre histoire, les filles ont été faire un tour dehors à minuit. Oh, je comprends les parents. Il y a treize ans, lorsque j’étais enceinte de ma fille, j’ai dû trouver un appartement plus grand. Et, quand on m’a dit que j’avais un appartement aux Champs Barets, j’ai vu rouge. Je ne voulais pas aller dans un quartier populaire dont j’avais entendu des choses… J’y ai finalement fait un tour et j’ai compris que, pour le prix, je n’aurais jamais un appartement aussi grand.

La peur est-elle le principe régisseur de notre société en berne ?

le cri de la torture
"Pas besoin d’être riche pour avoir peur du croque mitaine" Photo ArtTower

La peur n’a jamais été l’apanage des pauvres

Je me souviens d’avoir eu un choc quand j’ai constaté le prix des tomates exposées devant l’épicerie logée au pied de mon futur immeuble. Un prix ridiculement bas comparé à celui de mon quartier chic du centre-ville. Treize ans que je suis enterrée dans ce quartier, où la mort sociale a finit par me rattraper, effectivement. Bref, j’imagine que quand les parents sont tombés sur la vidéo qu’elles avaient faites de leur sortie nocturne, dans ce quartier populaire où je n’ai aucune crainte pour leur sécurité, ils se sont sentis trahis par mon inconséquence. Après tout, ça se défend. Pas besoin d’être riche pour avoir peur du croquemitaine. Pour moi, je vois la vie autrement. Le quartier est désert à cette heure, nul risque ne les menace, pas plus à minuit qu’à dix heures. Seule la peur emprisonne.

Le principe de l’entre-soi est le secret de la classe bourgeoise

Je ne suis pas guidée par la peur de la vie, ni ici, ni au cours des nombreux voyages que j’ai accomplis, seule la plupart du temps. Je suis une fille de la campagne, et j’ai bien vite compris que l’intuition est un bouclier de protection bien plus puissant que la peur qui rend l’homme aveugle et imprudent. Moi aussi, je suis issue d’une famille de la classe moyenne qui a réussi. Les parents de la copine en question sont peut-être issus de la petite bourgeoisie mais, j’en doute. Si c’était le cas, l’idée de laisser leur fille chez une inconnue ne leur aurait même pas traversé l’esprit. Chez les bourgeois, l’entre-soi est de rigueur, et rares sont les occasions de déroger à la règle. Je pense donc qu’ils sont issus de la classe moyenne. Ils possèdent néanmoins un patrimoine conséquent, une résidence à la campagne avec piscine et chevaux. La vie n’est pas vivable hors de leur monde.

De l’entre-soi à la peur de l’autre, il n’y a qu’un pas

Evidemment, il ne faut pas venir de bien haut pour adopter l’entre-soi, c’est un instinct grégaire qui nous est familier. J’ai justement entendu, hier, le témoignage d’une policière qui décrit la mentalité de ses collègues : violents et racistes, ils ne veulent pas se mélanger à la population civile ; un entre-soi bien établi qui va jusqu’à ne surtout pas commander un kebab ou une pizza de peur qu’on leur crache dans la soupe. C’est le même mécanisme psychologique à l’œuvre qui gangrène tous les corps de la société. Et, aujourd’hui, la violence qui suinte des propos du président français relève des mêmes ressorts. Quant à ma fille, elle n’ira pas dormir chez sa copine ; elle a été remise à sa place. Curieusement, cet épisode est l’électro-choc qui m’a donné l’impulsion de reprendre l’écriture de mes articles.

Le verrouillage de l’intelligence expliquerait-il la gestion de la crise sanitaire ?

emprisonner l'esprit
L'esprit s'emprisonne si facilement - Photo de เอกลักษณ์ มะลิซ้อน

La crise sanitaire est le miroir grossissant des structures en place

J’ai tout de suite trouvé le bar* qui ne demande pas l’insane « pass », ce permis de vivre en citoyen modèle. Je suis et resterai une résistante. Il est temps pour moi de dire tout ce que je sais de ce qui se passe. Oh, je ne sais pas tout, bien sûr, loin de là. Et avant de m’exprimer, j’ai étudié l’affaire de cette crise sanitaire. Je voulais trier les faits, bien que j’en connaisse déjà les fondements. En effet, j’ai passé ma vie à étudier les mécanismes de notre société. Il est temps de témoigner à mon tour. Bien sûr, je sais depuis le début de la crise qu’il est nécessaire de parler mais, je ne savais pas par où commencer, ni par quel angle attaquer. Voilà qui est fait. Il m’apparaît évident. J’ai sans doute l’avantage d’avoir une connaissance pluridisciplinaire, il nous sera utile. Pourquoi c’est un si grand avantage aujourd’hui ?

*à l’heure où je publie cet article,  un contrôle dissuasif a changé la donne pour notre ami cafetier. Il m’a servi un café et m’a demandé « mon pass ». Je n’en ai pas. J’ai quand même bu mon café, écrit cet astérisque et fait une croix sur mon « bureau du matin ».
 

Le verrouillage imminent de nos droits fondamentaux

Eh bien, j’ai écouté il y a quelques jours un entretien entre Pierre Barnérias, le réalisateur de « Hold Up », et Jean Dominique Michel, anthropologue. Ce dernier explique au premier pourquoi, à son avis, Douste Blazy et Pinçon Charlot se sont désolidarisés du film Hold Up. Ils avaient pourtant reçu, visionné et validé le montage final du reportage avant sa diffusion. Qu’est-ce qui les a donc poussés à se rétracter ? Vu l’affligeant lynchage médiatique, rien de surprenant ; ils ne connaissent que trop bien les rouages de la propagande, celle de la corruption et de la criminalité qui sévit à tous les niveaux de la superstructure socio-professionnelle française. C’est cette même superstructure qui domine et sévit de par le monde, avec ses différences de degré, parfois notables, en terme d’impunité. Monique Pinçon-Charlot a passé sa vie à étudier la haute bourgeoisie française. Elle est parfaitement consciente du tournant totalitaire pris par le pouvoir actuel.

L’effet pervers de la sacro-sainte expertise

Je connais très bien les travaux de Monique Pinçon-Charlot et de son mari sur la caste bourgeoise, ils m’ont accompagnés tout le long de mon cursus universitaire. Je n’ai pourtant pas fait socio, non. J’ai fait Sciences de l’éducation à la fac de Rouen, qualifiée de « section poubelle » par les profs de sciences humaines sévissant dans les nobles disciplines de l’histoire, de la géographie et, plus tard, de la sociologie. Voilà qui éclaire le caractère subversif de la pluridisciplinarité. D’où l’édification de la qualité d’expert jusqu’à sa sacralisation académique. La peur d’être mis au banc de la société, la peur de voir détruire une carrière politique ou une notoriété chèrement acquise est un levier puissant pour ne pas entrer en résistance au moment le plus critique de l’Histoire. Evidement ! Aucun reproche dans mes propos, beaucoup d’intellectuels ont fait leur temps, à chacun son rôle.

Cette crise est aussi l’ouverture attendue pour reprendre le pouvoir sur les empoisonneurs

la nature est encore vivante
"Je ne sépare pas la Nature de l’Homme, et c’est pour moi la clé de notre intégrité." Photo de Michael Gaida

La pluridisciplinarité serait-elle l’arme secrète du sauvetage de l’humanité ?

La pluridisciplinarité est le secret de notre libération

Comme Jean Dominique Michel et Pierre Barnérias, j’ai constaté avec effarement que des personnes cultivées, engagées et instruites étaient tombées dans le piège de la propagande — les mécanismes inconscients de préservation se sont tous mis en branle au cours de cette année fatidique de la covid-19. Le discours de la peur a tellement bien fonctionné qu’elles étaient incapables de faire leur boulot d’enquêteur. Je les préfère pourtant à celles qui, nombreuses, déclarent avec un cynisme désœuvré : « je m’en fous ! » À contrario, pourquoi des personnes simples et sans instruction universitaire, des personnes d’un milieu plus modeste, avaient percuté, et pas nos intellectuels ? Jean Dominique Michel l’explique très bien. D’une, la pluridisciplinarité est la première clé de compréhension. De deux, l’esprit d’indépendance, affranchi de l’instinct grégaire (autant que faire se peut), offre la liberté nécessaire pour supporter la pression de son groupe d’appartenance. Enfin, l’ouverture spirituelle, procédant des deux premières étapes, permet de sortir d’une vision dualiste et binaire face aux choix restreints que la société implique de faire.

Notre rapport à la nature est la clé du mystère

Le pays le moins vacciné d’Europe est la Bulgarie. Il est décrié par la presse institutionnalisée comme un pays de « complotistes incultes ». C’est aussi, parait-il, le pays le plus pauvre d’Europe. En passant, comprenez que la pauvreté se répand aujourd’hui comme une traînée de poudre sur le vieux continent. Moi, je suis prête à m’exiler en Bulgarie si la situation dégénère encore. J’ai un peu voyagé dans ma vie. Que ce soit dans une ville comme Marseille ou dans une ville comme Belém, au Brésil, je me fondais dans la masse et je parcourais métropoles et bidonvilles sans appréhension. J’étais comme un poisson dans l’eau pour une seule et même raison : j’ai un rapport simple à la Nature. J’ai cependant conscience que pénétrer une forêt vierge remettrait en question toutes mes conceptions actuelles. Cela étant dit, contrairement à la pensée dominante, je ne sépare pas la Nature de l’Homme, et c’est pour moi la clé de notre intégrité ; le secret de la vie, en somme.

La conformité aux attentes est la règle du jeu de la corruption sociale

Malgré tout, j’ai passé ma vie à m’en vouloir de ne pouvoir m’adapter à la logique sociale et économique de notre temps. Décalée, inapte à jouer un rôle conforme aux attentes, j’ai eu grand peine à gagner ma vie. Que ce soit dans le domaine de l’art ou du journalisme, j’étais inapte à me fabriquer une carrière. En tant que pigiste, je refusais d’écrire pour tel ou tel député qui m’ouvrait la porte du « jeu ». Tout est jeu de corruption. Artiste, j’étais inapte à m’intégrer dans le business. Dans des emplois plus conventionnels, j’étais inapte à courber l’échine, à mentir et à prétendre que l’obéissance était de règle. Que me restait-il ? Mon intégrité intellectuelle ? À peine, puisque je me retrouvais au banc de la société, perdant toute valeur et toute estime de moi-même. Aujourd’hui, est-ce que je sais qui je suis ? Pas plus qu’avant face aux exigences sociales. Est-ce que refuser le combat est un acte de résistance ? Au regard de la lutte qui s’annonce, je comprends que c’est maintenant que le vrai combat commence.

Avons-nous le pouvoir de condamner les responsables de l’effondrement ?

Que répondre face au déni de la vie qui est la norme imposée ?

Les chimistes s’ouvrent un nouveau marché pour les décennies à venir

Je sais aussi que ma curiosité pour l’art, l’économie, la sociologie politique, la psychiatrie et les questions d’éthique en général a aujourd’hui un sens face au déni de la vie qui est la norme imposée. Jusqu’à présent, j’ai tenu à élever mes enfants selon mes propres règles et valeurs, expérimentant mes théories sur l’éducation sans céder aux pressions extérieures. Jusqu’ici, tout va bien, comme dirait l’autre. Mes enfants sont indéniablement équilibrés psychologiquement et solides physiquement. À quinze et treize ans, ils ne se sont jamais fait injecter un seul produit chimique dans le corps… jusqu’à présent. Et, comme par le passé, je résisterai aux pressions et discours abjectes des manipulateurs de tous poils, en particulier ceux des chimistes. Maintenant que ces derniers ont ouvert un nouveau marché de la drogue avec la thérapie génique, le combat change de niveau. La logique de fond reste la même : contrôler et transformer notre « Nature imparfaite » et hostile pour l’homme apeuré.

Les mécanismes d’avilissement passent par l’empoisonnement de la Nature

Mes stratégies de protection se renouvèleront en conséquence. Il est bien sûr évident que je ne céderai jamais à la pression. Pour nous y aider, le docteur Richard Fleming a fait une présentation magistrale de la situation. Une situation que j’étudie depuis si longtemps, que j’ai remonté l’histoire sur plusieurs siècles. Elle semble en effet se perpétuer depuis la période dramatique de l’Inquisition. Les mécanismes de l’empoisonnement ne changent pas. Ils se sont juste considérablement sophistiqués. Je sais cependant que la bêtise qui les sous-tend reste intacte. Richard Fleming rappelle qu’en 1976, le gouvernement américain a instrumentalisé la peur d’une pandémie suite à des cas de grippe porcine, pour imposer un vaccin dangereux pour les cobayes qui l’ont accepté. Un gouvernement est infiltré par des personnes capables d’utiliser la puissance de ses leviers pour avilir notre esprit de contradiction. Orchestrant notre ignorance scientifique comme le meilleur moyen de nous atteindre. L’asservissement de la médecine est l’arme suprême d’un pouvoir totalitaire.

La chimie de synthèse signe la mort programmée du vivant

Certes, les mécanismes de corruption à l’œuvre aujourd’hui sont bien plus élaborés qu’en 1976. À cette date, le programme de vaccination avait pris fin lorsque le nombre de vingt-cinq morts avait été atteint. Aujourd’hui, les rouages de la manipulation sont bien plus diaboliques qu’en 2009 pour la grippe H1N1. En 2021, le nombre de morts du « vaccin » est incertain mais déjà terrifiant, les déclarations de pharmacovigilance sont filtrées, et les incitations sont abjectes et sordides. Le professeur Didier Raoult rappelle candidement que les nouvelles molécules qui inondent le marché pharmaceutique (avec un chiffre d’affaire annuel qui frôle les mille milliards de dollars) n’a aucune pertinence médicale. Gardons à l’esprit que la médecine est l’arme la plus puissante pour l’asservissement de notre pouvoir individuel et collectif. C’est un fait historique que la période de l’Inquisition illustre aujourd’hui de manière honteusement romanesque. Si nous en prenons tous conscience, l’avenir s’éclaircira enfin.

Aurons-nous le courage de reconnaitre la réalité de nos propres pouvoirs ?

L'homme est Nature
"Si nous continuons à soutenir le paradigme de dissociation entre l’Homme et la Nature, nous entérinons le déni de notre propre réalité." Photo Ajay kumar Singh

La Nature détient le langage universel de notre libération

Finalement, cette crise sera, je l’espère, salutaire pour l’humanité. Jean Dominique Michel pense que le professeur Raoult a une vision large de la crise, du fait de sa pluridisciplinarité. Didier Raoult rappelle d’ailleurs à notre bon souvenir les théories d’Hannah Arendt et de Noam Chomsky, les plus célèbres théoriciens de la manipulation et de la propagande du pouvoir institutionnel. Mais, je pense que la clé du problème réside dans la question centrale de notre rapport à la nature. Dans « Le Serpent cosmique », de Jérémy Narby, nous comprenons que l’ADN est le langage de notre Nature, ce langage commun aux plantes, aux animaux et aux hommes. Dans « Enfance d’un chaman », Anne Sibran qualifie les derniers chamans d’Amérique de « traducteurs » de la Nature, ce qui en dit long sur notre aveuglant sentiment de supériorité. Il vous est arrivé de penser que la communication avec la Nature n’était pas seulement une idée romantique proche de l’onirisme, n’est-ce pas ?

Le paradigme de l’unification ouvre les portes de notre réalité

Pour finir, je ferais référence à Corine Sombrun, qui a fait l’effort héroïque de passer à la transe auto-induite pour que la science puisse prouver l’existence du pouvoir de la Nature en chacun de nous. Elle parvient ainsi à prouver que notre ADN commun avec les animaux, les insectes et les plantes, est une pure réalité scientifique, loin de l’écriture de fiction qui nous éloigne de nos certitudes intuitives et nous gave comme des oies. Comprenez par là que ce langage ADN est le lien spirituel qui nous relie au monde du vivant dans sa totalité. Notre talent d’écriture est une arme à double tranchant, que les maîtres de la domination instrumentalisent à loisir. Si nous continuons à soutenir le paradigme de dissociation entre l’Homme et la Nature, nous entérinons le déni de notre propre réalité. L’homme n’est pas une machine ! Et la pensée est une mécanique complexe qu’on ne peut réduire à notre raison.

Le rideau se lève sur le dernier acte d’un empoisonnement généralisé

Cette crise « sanitaire » est sans doute la pire chose qui pouvait réveiller notre humanité. Des scientifiques nous alertent depuis soixante ans sur les conséquences de l’empoisonnement universel que les chimistes nous imposent. Des perturbateurs endocriniens aux molécules cancérogènes, en passant par la « pollution génétique » des apprentis sorciers d’un nouveau genre (qui nous servent depuis peu les SDHI attaquant directement les mitochondries de nos cellules), nous sommes aujourd’hui confrontés aux conséquences de leurs recherches inadmissibles sur les gains de fonction, qui transforment un virus animal en arme biochimique transmissible à l’homme. L’avantage de cette crise, c’est que tout le monde est aujourd’hui touché dans son quotidien. Il est difficile de cacher à tout un peuple les effets délétères de leur soupe « vaccin anti-covid ». Alors qu’avant, on avait beau alerter, personne ne se sentait réellement concerné par la folie de ces chimistes apeurés par leur propre mort. Le principe de cause à effet ne transpirait pas assez.

Le monde des empoisonneurs s’effondre, celui des aveugles se réveille et les voyants s’organisent

revivre
"Sans attendre de faire écrouler le système, nous en créons déjà un nouveau." Photo de Lothar Dieterich

Notre société de l’aveuglement est-elle en train d’ouvrir les yeux ?

Aveuglé par empoisonnement
"Notre société pharmatisée s’inscrit dans une dépossession systématique de notre pouvoir physique et spirituel." Photo d'Enrique Meseguer

Notre société pharmatisée bloque nos capacités innées d’autoprotection

Pour revenir à nos enfants, cette crise leur cause des dégâts considérables. Pour l’instant, mon fils et ma fille n’ont subi aucun dommage psychologique grave, contrairement à bien d’autres dont la peur légitime des parents a profondément atteint le système de valeurs dans leur rapport à la nature, et donc à la vie. Je me souviens d’une réflexion d’un théoricien de l’éducation qui assurait que les professeurs d’université devraient tous passer un CAP avant d’enseigner. Il signifiait par là que nous ne pouvons réduire notre pensée à la théorisation, ça ne marche pas comme ça. L’homme a un potentiel créateur d’où il tire son véritable pouvoir d’être. Mais, notre société moderne s’est bien gardée de cultiver cette évidence. Le principe de notre société pharmatisée s’inscrit dans une dépossession systématique de notre pouvoir physique et spirituel. Dans une société où la corruption est systémique au point que la majorité des individus ne se rendent pas comptent qu’ils se font corrompre, ce système est bien plus facile à faire accepter.

Notre société nous rend aveugle à toute alternative au changement

Nous sommes une société d’aveugles qui s’ignorent. Dans « Espace lointain »Jaroslav Melnik décrit cette réalité avec un talent brillantissime. Contrairement à nombre d’auteurs de science fiction gouvernés par la peur d’un avenir dystopique, Jaroslav Melnik parvient à éveiller l’esprit des hommes et des femmes qui n’ont pas encore conscience de vivre dans une société totalitaire. S’il rendait compte de son expérience ukrainienne dans sa période communiste, il parle aujourd’hui de nous, occidentaux endormis. Ce n’est absolument pas le cas d’Alain Damasio, par exemple, qui brouille les pistes de notre conscience dans « Les Furtifs ». Je n’ai d’ailleurs pas pu aller jusqu’au bout de ma lecture, tellement l’intention est dangereuse et morbide, au point d’ancrer chez le lecteur une vision tristement fataliste de notre futur. Et, ça marche ! Puisque je constate avec effarement que la théorie de l’effondrement tétanise aujourd’hui ses lecteurs, mes très chers concitoyens.

Les commerçants de la médecine sont légalement dégagés de toute responsabilité

Rappelons maintenant quelques faits historiques. La plus grosse amende de l’Histoire est attribuée à Pfizer pour corruption de médecins et falsification de données de recherche. C’était en 2012 pour trois milliards deux cent millions de dollars. Ses bénéfices ont pourtant explosé en 2021, atteignant les trente milliards de dollars alors que l’année n’est pas terminée. Ce système d’amendes sans emprisonnement ou fermeture administrative est celui de la compensation financière. Il bafoue les intérêts du peuple sous couvert de le défendre. Trouver le moyen d’en changer les règles nécessite d’en comprendre les racines. Comprenons-le ! Ensuite, passons à la mécanique pharmaceutique dont, je le rappelle, le marché annuel représente près de mille milliards de dollars. Sans vouloir nier l’avancée médicale et technologique de la médecine, force est de constater que l’usage du médicament s’est radicalement retourné contre nous. La course à l’innovation est organisée par des commerciaux avides d’ouvrir de nouveaux marchés du futur, dont la thérapie génique serait la clé de voûte. Mais, n’allons pas trop vite.

Après soixante-dix ans de chantage et une planète en ruine, l’impunité est-elle encore tenable ?

vaccination cachée
"Le procès de Nuremberg n’a pas permis de mettre fin à l’empoisonnement, loin de là." Photo de Wilfried Pohnke

Le principe passoire du procès de Nuremberg s’est perpétué jusqu’à aujourd’hui

L’histoire de la chimie et des molécules de synthèse date de la fin du XIXème siècle, et prend un tournant décisif sous le régime nazi. Le procès de Nuremberg n’a pas permis de mettre fin à l’empoisonnement, loin de là. Parmi les chimistes condamnés, nombre d’entre eux ont réintégré leur poste chez Bayer et compagnie, récupérés par les services de défense des différents pays concernés. La balance bénéfice-risque a bien été appliquée. Aujourd’hui, les conséquences de la chimie de synthèse (même si la pétrochimie n’est pas en reste) sur notre santé et sur la planète entière sont proprement inhumaines. En 2017, l’entreprise Monsanto a dû être absorbée par Bayer qui continue de payer les amendes des procès en cours ; la pollution de la planète ne doit pas cacher le plus grand scandale dont nous sommes tous victimes à travers les perturbateurs endocriniens. Les espèces animales sont autant menacées d’extinction que l’espèce humaine. Aujourd’hui, le scandale des « nouveaux OGM » autorisés en Europe en janvier 2021 ne passera pas longtemps inaperçu.

L’impunité de l’industrie chimique explose aujourd’hui à la face du monde

Les peuples du monde demeuraient impuissants, jusqu’à aujourd’hui. Gardé à l’écart du débat, le citoyen lambda ne se sentait pas concerné directement par la destruction programmée de la Nature. Même la corrélation entre le marché de la chimie de synthèse et les effets secondaires des médicaments absorbés en masse, était soustraite à sa compréhension. L’avantage évident de la crise sanitaire mondiale de la covid-19 rebat les cartes. Nous nous sentons désormais directement concernés par la politique totalitaire de l’industrie chimique mondiale. L’explosion de nouvelles maladies n’a rien à voir avec le hasard, et notre aveuglement savamment orchestré devrait pouvoir prendre fin. Pour notre décharge, cela fait des siècles que les conséquences de l’Inquisition nous maintiennent dans l’ignorance, ignorance voulue et acceptée par tous ou presque. Sans vouloir jouer les grandes prêtresses, je pense néanmoins qu’il ne nous suffit pas d’avoir la connaissance de ces faits pour nous mener à la révolte.

La lutte s’organise pour faire émerger un système parallèle à celui des morts

La révolte accompagne souvent les prises de conscience et laisse rapidement place à l’action réfléchie pour que la lutte s’organise. L’imbrication entre la politique et l’empoisonnement est devenu si visible et intrusif que l’éveil est proche. Et, je pense sincèrement que ceux qui ont la chance d’avoir un rapport spécifique à la Nature, qui n’est autre qu’une reliance spirituelle à la vie, peuvent révéler le piège et nous aider à en sortir. Je pense également que nous sommes beaucoup plus nombreux à nous révolter que nos chimistes s’évertuent à le croire. Leur stratégie de dénigrement face aux « militants », aujourd’hui « complotistes », est tristement éculée. S’il y a un bénéfice à cette crise, c’est donc sans aucun doute l’éveil des consciences. Lorsque je vois qu’Antoine (le présentateur de l’AH2020) et Astrid Stuckelberger, accompagnés ce soir-là de Laurent Montesino lors du live du 20 août 2021, ont eu l’idée soudaine de monter une ONG internationale pour créer un système de soins parallèle, et absorber ainsi la masse grandissante des médecins et soignants excommuniés, virés comme des malpropres, je crois en l’avenir.

Avons-nous le pouvoir de condamner les responsables de l’effondrement ?

Islande
L'Islande, le seul pays où les banquiers ne sont pas une espèce protégée, s'est quand même fait inoculer sa dose."

Notre réveil a déjà enclenché un nouveau futur

Sans attendre de faire écrouler le système, nous en créons déjà un nouveau. Quand j’entends Philippe Guillemant, ingénieur en Intelligence Artificielle et physicien quantique, affirmer que les adeptes de la biotechnologie ne parviendront pas à leurs fins, et qu’ils s’accrochent désespérément à un vieux futur obsolète, je le remercie intérieurement. Je pense à tous ces auteurs de science fiction qui alimentent la peur d’une société de contrôle transhumaniste imminente ; et j’appuie l’idée que les illuminés de la biotech ont déjà perdu. Quand je goûte au miel sauvage de Crète que j’ai acheté hier, je suis transportée dans un monde encore présent, un monde que l’on ne saurait détruire malgré tous nos efforts, un monde qui attend notre réveil. Et, quand j’entends ce fou heureux de Jean-Bernard Fourtillan, qui s’amuse à nous assurer que Pfizer et compagnie n’ont aucune compétence pour toucher à l’ADN, je ris de l’absurdité de leur ambition. Je pleure aussi pour la mort de nos anciens et pour la menace qui pèse sur nos enfants.

La lutte des peuples commence réellement aujourd’hui

Nous ne sommes pas en guerre, comme le prétend Emmanuel Le Pen, non. Les néocapitalistes sont à l’aune de leur dernière bataille. La plus meurtrière, sans doute, celle qui signe l’avènement d’un monde où la destruction de la Nature prend fin. Car, l’homme aura compris que la Nature, c’est lui. Nous ne sommes pas des machines ! Même si nous sommes tous en retard sur la vérité, nous ne sommes plus très loin de percer le mystère de notre propre nature et de son pouvoir. Ne tenons rien pour acquis. Faisons fi de notre ignorance. Faisons de l’humilité le principe de notre avenir. Ainsi, l’intégrité sera bientôt gravée sur le ponton de nos maisons, pour assoir l’éducation future de nos enfants. Ça fait un peu donneur de leçons mais, je veux dire par là que la lutte commence. Le peuple va sortir du jeu. Il ne fera pas une Révolution dont les dés sont pipés, non. Nous sommes sur le point d’inventer un nouveau futur. Et, nous en connaissons déjà les principes. Ils sont en nous.