Lorsque j’ai décidé d’être écrivain, je me suis assise à la terrasse du café du coin et j’ai écrit. Le bar de la Vallée est devenu mon bureau du matin. Mes histoires y coulaient des jours heureux, persuadée que j’étais d’être bientôt propulsée sur le devant de la scène.
Deux romans plus tard, j’ai commencé à douter de la pertinence de mon super plan…