Depuis la découverte des premières molécules de synthèse, il y a 150 ans, la toxicité de nos produits, des colorants aux pesticides en passant par nos désinfectants, est reconnue et réglementée, dans le but de satisfaire les travailleurs et « militants » pour baisser la factures en termes de dédommagement. Mais la logique reste : la Nature se transforme au contact de la pollution, tout le monde en profite, et personne ne peut arrêter le progrès. Vu comme ça, c’est clair, on ne change rien, parce qu’on ne peut rien y changer. Aujourd’hui, les choses ont encore évolué et les découvertes sont de plus en plus complexes. Après la pollution électromagnétique, on passe à la pollution génétique. C’est pour ça que le cas de Monsanto pourrait faire jurisprudence. Car, si personne n’avait rien fait, il n’y aurait plus rien à dire à l’heure qu’il est.