Abdel raccroche, tourne les talons et quitte les lieux sans un regard pour son acolyte. Conrad ne bouge pas. Il voit son patron monter sans un mot dans le 4X4 de la Compagnie. Fin de la fausse scène.
Qui se souvient d’une fois où il s’est senti aimé d’un amour bienveillant ? Lorsqu’il était enfant, peut-être ? Le cœur moins bétonné et plus réceptif, susceptible d’en garder un souvenir, un seul… seule… Soledad… La solitude sera le nom de mon héroïne, incluant un héros. Soledad œuvre dans l’ombre de l’histoire, exemptée d’amour.