Comment fonctionne le choix de la politique vaccinale contre le covid 19 ?

vaccine-Gerd Altmann

Je suis la première à penser que le calendrier vaccinal est la finalité, politique et financière, de cette gestion de crise. Il permettra de mettre tout le monde sous contrôle (traçage médical généralisé). Aujourd’hui, c’est l’éclate totale chez Bill et Melinda ! Le plus déroutant, c’est que Michael Yeadon va jusqu’à dire que la finalité de cette campagne de vaccination n’est pas directement reliée au gain. Non, « c’est autre chose ». Ah, oui ?

Un virologue angoissé emprunte les leviers dramatiques de la fiction

La lettre de Geert Vanden Bossche manque de crédibilité. Je suis la première à penser que la vaccination est la finalité de cette gestion de crise laborieuse (mais pas hasardeuse). Pour autant, même si j’ai commencé à lire la « lettre angoissante » de ce virologue subversif avec intérêt (puis avec effarement), j’ai douté à mesure que le ton alarmiste montait dans les aigus : « On ne peut imaginer une stratégie plus efficace pour transformer un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive », dit-il au sujet de l’opération de « vaccination de masse ».  On ne peut imaginer lanceur d’alerte plus téméraire et fou, que celui qui s’offre aussi facilement à la vindicte de ses pairs. Une lettre dramatique sans preuve annoncée, n’est rien d’autre qu’un os tendu à une meute de loups.

Comprendre les mécanismes de pensée de la sphère décisionnaire

Vous voyez, moi, je veux comprendre ces scientifiques. Ils ont des points communs et divergents. Cela dit, grâce à la fiction, je vais rentrer dans leur tête, chercher à les comprendre. Dans quel but ? Pour sortir des débats d’opinions stériles (voir mon article d’hier), et percer à jour les vrais mécanismes de pensées de ceux qui suivent « le progrès en marche ». J’aimerais comprendre qui suit qui et en avoir les preuves. Je veux comprendre la logique des décisions politico-sanitaires qui ne date pas d’hier. Je ne suis pas comme le virologue de la « lettre angoissante », je ne crains pas d’arriver trop tard. On croit rêver. À l’heure où le business de l’info paye des freelances au rabais pour interviewer des inconnus via les réseaux sociaux, et sans avoir le temps de vérifier leurs sources, je veux prendre le temps de comprendre vraiment à quoi, ou plutôt à qui, nous avons à faire.

Des voix dissonantes  s’élèvent pour alerter des dangers

 J’ai tout mon temps. Geert Vanden Bossche (quel nom inquiétant, tout de même, je ne trouve aucun résultat de recherche avant ce mois de mars sur lui, c’est carrément pas net) prétend que nous risquons une éradication de masse. Alors, dans quelle mesure ce virologue affolé doit-il être pris au sérieux ? C’est là que je tombe sur les mises en garde de Michael Yeadon, ancien directeur chez Pfifer, sur les dangers de la campagne de vaccination actuelle. S’il ne donne pas crédit aux hypothèses de Geert Vanden Bossche à propos de « variants super-infectieux », il affirme néanmoins qu’une vaccination systématique est injustifiée et médicalement aberrantes. En fait, Michael Yeadon semble tout aussi effrayé que Bossche : « les personnes qui ne sont pas menacées par ce virus ne devraient pas être exposées au risque d’effets nocifs des vaccins (déclenchement de la coagulation sanguine et activation du “système du complément” immunitaire) ».

Quand d’autres laissent la place aux nouveaux résistants

Je me rappelle des propos de Monique Pinçon-Charlot, dont le reportage Hold-Up ne rapportait qu’un court extrait de son interview (la pauvre) sur l’éradication programmée d’une partie de la population mondiale. Cette grande dame est pour moi une référence. Elle portait de telles allégations bien avant la crise du covid. Je comprends ses rétractations. Vu la situation, et son âge avancé, elle n’a vraiment rien à faire dans ce combat. Elle a donné sa vie entière pour percer la réalité du monde des élites. Elle a donné, merci. Aujourd’hui, j’ai la nette impression qu’un mouvement de résistance s’organise dans le monde de la science. Face à l’émergence d’une organisation politique mondialisée, un corps intellectuel nouveau se constitue. Après l’influence des sciences humaines (psychologie, sociologie, etc.), l’ère des sciences du vivant prend le relais. Le combat a déjà commencé.

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