COUCOU !

Je commence mon best-seller !

Nous avons tous notre histoire et, à l’intérieur, notre rapport à la création. Je suis profondément persuadée que nous avons tous une âme d’artiste. C’est elle, le souffle magique de notre humanité.

J’ai longtemps erré dans le monde de l’art, j’ai humé l’air de ses profondeurs, au Havre et où que j’aille. C’était un monde comme tous les autres, avec ses sujets de recherche, ses réseaux de compétences, ses relations, ses amis et ses codes à l’envers.

La Boîte à Mythes

le Colporteur de la Plage du havre

J’étais une touche-à-tout ! Le chant, la musique, le dessin, la peinture, le « happening », les « installations » en tous genres, le mime… Et, tout au long de cet apprentissage chaotique, l’écriture se tenait à mes côtés. Une amie passionnée qui s’emmêlait souvent les pinceaux. L’alcool, la drogue, et même les champignons hallucinogènes ramassés dans les champs des vaches trouvaient surnaturellement leur place dans cette quête initiatique. Vingt ans d’une recherche frénétique et quasi désespérée !

Se proclamer écrivain

un grand pas dans la vie.

écriture et dessin
Écrire et dessiner sont les deux dimensions d'une même pratique

Je ne tenais pas en place et j’avais toujours un grand projet qui n’aboutissait « jamais ». Je m’intéressais à l’actualité, à la politique, à tout ce qui brassait les idées. Je cherchais à façonner ma pensée et une façon de l’exposer. Heureusement, je faisais des piges à la presse havraise et j’animais des émissions dans des radios locales.  Ça me permettait de garder un pied sur terre. J’ai posé le deuxième lorsque j’ai enfin répondu à l’unique question qui comptait vraiment :  « QUE VEUX-TU FAIRE ? Écrire ? Encore faut-il se prendre pour un écrivain. Au fait, qu’est-ce que fait un écrivain ? Il écrit POUR LES AUTRES ! Eurêka ! »

et une seule vraie question à se poser

comment travailler les fins ?

Fin de chapitre, fin de roman, fin d’action… chaque récit compte des fins à tous les coins de page.

Chez John Grisham elle est extrêmement respectueuse d’une certaine éthique. « L’Idéaliste » en est un bon exemple. Le public apprécie et j’aimerais en faire autant. Chez Andreas Eschbach, la fin est hautement travaillée. « Maître de la matière » est une leçon de structure. Ses constructions parfaites au sein d’aventures rocambolesques, bourrées de crédits et d’émotions, sont, pour moi, un exemple à décortiquer. J’aimerais en arriver là ! Écrire pour le plus grand nombre en menant autant d’expérimentations passionnelles que de recherches rigoureuses. À cette fin, quoi de plus évident que de relever le pari fou d’écrire un roman.

L’écriture est une ouverture sur le monde des perceptions

Que cette ouverture sur l’écriture crée une dynamique inspirante pour tous ceux qui se sentent touchés, de près ou de loin, par l’écoute d’un récit (contes, fictions ou témoignages, romans ou scénarios). Que cette aventure collective nourrisse nos rêves et sublime nos passions ! Ce blog est un formidable outil de travail pour atteindre l’excellence. Soyez prêts à vivre l’aventure littéraire la plus romanesque de votre existence !

Très sincèrement, Alice Grownup

corona virus

La crise du covid-19 signe la fin de notre empoisonnement

Le pouvoir de l’industrie chimique est devenu hors de contrôle. La bonne nouvelle, c’est que notre aveuglement vient de prendre fin. Maintenant, le seul moyen de neutraliser la folie des chimistes, c’est de mettre les responsables en prison, de réquisitionner leurs entreprises et de redonner le pouvoir au vivant.

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