J’ai ainsi ébauché un plan, inventé des personnages qui ne sont pas encore arrivés pour ce premier épisode. Et, heureusement ! Car, si je publie le premier épisode à Noël, je dois être capable de le relier à l’ensemble à venir (honnêtement, je me donne deux ans pour écrire ce roman : no stress). Ainsi, j’ai tout loisir de ménager le suspense, d’introduire des éléments dont le lecteur comprendra plus tard les implications (comme c’est déjà le cas pour notre ami Henry). Maintenant, j’aimerais attaquer les recherches. C’est passionnant mais énergivore. J’ai un peu peur de m’y laisser engloutir et de m’éloigner du ronron des séances. Perspective inquiétante mais riche ! Inventer des superpouvoirs, c’est se coller aux avancées scientifiques et aux lectures ardues. Pour l’instant, j’avoue ne pas avoir trouvé le fil sur lequel tirer, et dont tout découlerait. J’ai déjà tiré des scènes intéressantes de mes précédentes tentative mais, elles restent anecdotiques. Ces recherches devront me permettre d’élaborer un système cohérent pour expliquer les pouvoirs de mes héroïnes, en rapport avec la réalité de nos propres capacités extra-sensorielles. Affaire à suivre…