Quelle mission prêter à un modificateur de gènes ?

skull-Enrique Meseguer

Hier, je vous parlais des balbutiements de la science actuelle sur les mécanismes de l’évolution des espèces, et notamment en matière de transferts de gènes, dont les conséquences sur la biosphère manquent encore de recul. Les expérimentations sont en cours, pas d’inquiétudes. Il semblerait que le progrès de la science du génome nous mène tout droit vers une redéfinition de l’évolution des espèces.

Quelle meilleure mission que l’amélioration des espèces ?

Si, comme l’explique Bruce Lipton, « les gènes sont la mémoire physique de l’expérience acquise par l’organisme », et qu’un OGM (organisme génétiquement modifié) est un vecteur de modification de l’évolution des espèces, que va-t-il advenir d’une humanité vaccinée à l’ARN messager ? Cette question m’apparaît sensée depuis que je suis retombée sur l’affaire Monsanto. Avais-je même suivi son issue ? Rachetée par Bayer, la bande de Monsanto reste protégée, bien que les procès continuent de pleuvoir. Alors, quoi ? Il fallait sortir le grand jeu ? Les mecs, on est en droit de se poser la question. Je récapitule pour ceux qui n’ont pas suivi les épisodes précédents. D’abord, comme beaucoup d’entre nous, j’ai tenu bon l’année passée. Puis, l’hiver me sembla interminable. Après la diffusion de « Hold Up », j’ai cru devenir dingue. La barbarie médiatique n’en a fait qu’une bouchée. Moi, j’ai surtout entendu l’appel de Barnérias : interrogeons-nous !

Quel meilleur fond que celui de la forme ?

Cet événement éprouvant m’a rappelé une chose : la forme, c’est le fond. Je me récite cette simple formule depuis des années sans bien savoir où elle me menait, jusqu’à cet instant. Je comprenais enfin le sens de ce mantra mystérieux, auquel je m’attachais depuis trop longtemps sans parvenir à le saisir. Bien que persuadée de son importance, il m’échappait toujours. La forme, c’est le fond. Barnéras, le journaliste qui créa « Hold Up », venait d’en éclairer la valeur, en ne l’appliquant pas. Comment bétonner le fond sinon par la forme ? J’ai donc répondu à l’appel de Barnéras, dont le courage me sautait aux yeux, aux tripes, et surtout en plein cœur. Et j’ai commencé à lire, retirée des échanges d’opinions qui me blessaient au-delà du raisonnable.  J’ai lu sur Macron, sur l’économie de réseau, sur l’alimentation, et puis boum !

Quelle meilleure défense qu’un protocole scientifique inattaquable ?

Le livre du professeur Séralini me tombe entre les mains. Novembre 2019, « Actes Sud » publie le témoignage du chercheur, fer de lance d’une déconfiture pour la firme phare des céréales transgéniques et du Roundup. On parle de preuves ! On parle d’empoisonnement mortel et de modifications génétiques. On parle aussi et surtout de manipulation médiatique et de fausses informations, bases de nos réglementations sanitaires. On parle de faux comités d’experts et de corruption de chercheurs à l’échelle internationale ! Difficile, à cette échelle, de ne pas faire un parallèle avec l’hallucinante commercialisation express des vaccins ARNmessager. Demain, je vous en dirai plus sur cette affaire d’OGM, dont l’absorption modifie le caractère des bactéries utiles de l’intestin. Et je vous raconterai en quoi les professeurs Séralini et Raoult m’ont révélé sans le savoir comment appliquer mon mystérieux mantra.

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