Notre super roman d’aventure commence ici ! C’est l’histoire de Mia Petrovitch. Et j’espère bien en faire le nouveau Largo Winch au féminin. Pour l’heure, je veux raconter son enfance. N’ayant jamais mis les pieds ni en Serbie ni en Albanie, ce ne sera pas chose facile. Mais, en attendant de me payer le voyage, mes recherches, mon imagination et vos précieux avis feront des miracles !
Qui nourrit l’écriture de mon roman ?
Mia vit dans la forêt aux côtés d’une grand-mère issue d’une longue lignée de guérisseurs serbes. À sept ans, Mia vit ainsi isolée de tout, abandonnée par sa mère pour des raisons que Linika ne lui a jamais vraiment expliquées. Lorsqu’en pleine nuit des hommes armés les attaquent, la maison prend feu et Mia parvient à s’échapper avec l’aide d’un inconnu : Mirko Petrovitch. Ce haut dirigeant de la pègre albanaise décide d’adopter Mia qui aura bien du mal à s’adapter à sa nouvelle vie.
Comme promis, je vous présente le mec qui se raccroche aux branches, personnage secondaire clé de « La Main invisible ». Celui-ci est fou de prime abord, du moins dans son introduction dans le récit. Mais, comme expliqué dans mon article sur les personnages joker, ses actions auront un impact important dans les aventures de Mia.
Dans un roman, la toute première question, dont découleront les questions de situation, de placement de décor, est bel et bien l’enjeu. Pour rappel, l’enjeu est ce que le héros risque de perdre et, qui plus est, risque d’appartenir au gagnant. La lutte, le combat et le jeu (le « je ») sous-tend n’importe quel récit.
Chaque matin, la forêt s’éveillait au rythme d’un soleil envahissant, qui pénétrait sous les arbres, aussi agité qu’un singe. Chez elle, jamais la forêt n’aurait accepté ses caprices.
